Danse avec le feu à Reignac.

La fête a été très belle hier soir à Reignac. Il a fait beau, il a fait chaud et le comité des fêtes a bien mis le feu. La recette est simple et parfaite. Deux Tivoli et un plancher pour danser, une buvette, un premier feu pour les grillades, un deuxième pour bruler le bonhomme Saint Jean, un orchestre entre cuivre accordéon et batterie, un autre pour la retraite aux flambeaux. Mais surtout une belle équipe enthousiaste conduite par Dany qui ne ménage ni son temps ni sa sueur ni son cœur pour accueillir tous ceux qui aiment à se réunir pour ce beau moment de convivialité. Merci aux organisateurs, aux musiciens (D’yamm sentimental et les Pinces à linge), au ciel et à tous ceux qui sont venus.

J’ai mis quelques photos de la fête en lien. Il suffit de cliquer ici et ensuite de taper sur la touche F11 pour en profiter sur plein écran.

Pendant le transfert des photos sur un disque dur de Picassa quelque part dans le monde, j’ai eu envie de relire Henri Cartier Bresson quand il parle de photographie dans un numéro magnifique des Cahiers de la Photographie justement que j’avais déniché chez un bouquiniste.  Il dit entre autre très belles choses ceci : « Mais pour moi la seule véritable joie est cette jouissance physique, cette lutte avec le temps, cette nécessité angoissante de mettre, dans la même ligne de mire, l’œil, la tête, le cœur ».