A qui perd gagne.

Ce que j’aime bien avec Yves de Kerdrel c’est qu’il dit les choses avec délicatesse. Le Figaro n’étant pas en kiosque ce matin j’ai pensé utile de vous permettre de lire sa prose ce matin, pour le cas ou comme moi la moutarde vous monterait un peu au nez.

Le lycée de Barbezieux n’était pas accessible aux lycéens hier matin. J’ai cru comprendre qu’une seule porte était ouverte et que quelques dangereux gamins avaient terrorisés et tétanisés tout le monde, les profs, la direction, les élèves. Ca fait froid dans le dos quand même. C’est vrai que ça présente aussi l’avantage d’avoir un lycée fermé sans que les enseignants et les personnels aient besoin de faire grève et voir leur paie diminuée.

Des fois j’me dis que c’est à la grève de l’impôt que l’on devrait appeler, puisqu’on ne nous en donne pas pour notre argent. Mais là on ne plaisante plus, c’est très sévèrement puni ce type de révolte.