Le sens des mots.

Finalement, vous devriez vous remettre au cognac, ce serait bon pour l'économie locale et ça vous décontracterait un peu. Signé: l'ignorant, insolent et bête (et sans ame). ça fait un peu beaucoup pour un seul homme, non?

Ça fait une éternité que je ne bois plus de Cognac mon cher monsieur et quand j'écris un commentaire ici c'est dans l'espoir d'être compris par des gens sérieux et intellgents et non par des ignorants faiseurs de raccourcis dangereux.<br /> Cela demande un supplément d'âme dont vous me semblez dépourvu.<br /> C'est de l'insolence pure mâtinée de bêtise que de réduire une pensée qui vous échappe au fait que celui qui l'émet n'en aurait pu trouver l'inspiration qu'au fond du flacon!<br /> <br />

Le commentateur précédent a dû abuser du cognac avant d'écrire. Il faut arrêter de fantasmer comme cela sur cette pauvre presse locale, pressée comme un citron par le grand capital, évidemment à la solde des élus, du préfet, du ministre de l'intérieur, forcément corrompue, et totalement incompétente. C'était tellement mieux au bon vieux temps. Qu'appelez vous le même pole financier? Depuis trente ans, Charente Libre est associée au groupe sud ouest, un groupe familial je vous le rappelle, pas une grosse multinationale, mais les deux titres ont conservé leur totale indépendance rédactionnelle. Et nous nous battons quotidiennement pour que ça dure. Vous devriez nous lire tranquillement, après avoir posé vos a priori et vos clichés. ça devrait aller tout de suite mieux...

J'ai parlé d'un temps que les moins de... n'ont pas connu!<br /> <br /> Quand au sortir de l'occupation, la Charente devenue "Libre" était un journal indépendant reflétant l'opinion d'une partie de la population.<br /> Période où il n'y avait pas de crânes à bourrer comme aujourd'hui et comme la télé sait si bien le faire! Période où les têtes avaient d'abord à se refaire une santé!<br /> <br /> Faut dire que depuis les choses ont bien changé, que la presse locale a perdu de ses "indépendances", vu qu'il me semble qu'elles appartiennent toutes les deux au même pôle financier!<br /> <br /> Ainsi le journaliste local n'est plus à même de traiter l'info sous un aspect qui lui serait propre et en est réduit aujourd'hui à la relater en "masse" plutôt qu'en "particularité".<br /> <br /> Et de l'accomplissement de ce "bon boulot", voilà qu'il en tire Fierté!

Bravo Daniel D, ce journal n'est pas d'opinion, mais d'information. Il vise à fournir aux Charentais tous les éléments nécessaires pour se forger leur propre opinion, pas à leur bourrer le crane pour leur imposer telle ou telle opinion. Le tout basé sur quelques grandes valeurs, quelques grands principes intouchables, évidemment. Informer, c'est déjà pas mal, non?

Pour pas que ça dégouline, il faut avoir une bonne tartine!<br /> La baguette convient pas, car quand on mord d'un bout ça se barre de l'autre, donc pas de roulements de tambour. (la baguette...)<br /> Le pain de mie supporte pas l'épreuve: il est trop mou, cet "harry" là ne nous veut pas de bien! Avec le Jacquet j'ai rien trouvé!<br /> J'ai des souvenirs d'ancienne Corrèze et de tourte de pain au blé noir...On pouvait y tailler de très longues tartines, à la mie épaisse, à la croûte noire qu'il fallait enlever pour adoucir le goût, ainsi la confiture y faisait bon ménage avec les doigts...<br /> <br /> En Charente qui sut rester "Libre" sitôt la guerre et que mon père, ancien FTP, respectait plus que le <br /> "Sud-Ouest" , marqué à droite, dans les campagnes on se nourrissait en pain uniquement grâce à la miche de 6 livres! On savait donc ce qu'était une tartine plus large que nos deux mains ensemble. Mais on connaissait aussi les faiblesses du pain au levain cuit au feu de bois: de gros trous parsemaient notre "4 heures" et on priait de n'être pas celui qu'aurait ce problème à gérer!!! Cela diminuait d'autant notre ration de confiture ou de beurre pour le chocolat!<br /> <br /> Vous comprendrez ainsi pourquoi l'utilisation du mot dégouliner est fort mal inspirée! Nous revient en mémoire cette sorte de punition involontaire...<br /> <br /> Bref en ce temps-là ce journal était d'opinion, tandis qu'aujourd'hui on aurait plutôt l'impression qu'il évite d'en avoir!

Décidément, le président de la CDC des 3B n'aime vraiment pas la critique! Vous citez ce petit billet d'humeur glissé dans notre rubrique "le barometre", qui titille chaque samedi les personnalités charentaises. Je trouve que c'est plutot bien de trouver des Barbeziliens dans cette rubrique qui se veut pinçante sans être méchante. J'en profite pour dire à cette pauvre Yvonne (Yvonne comment? facile de baver sur les autres en se camouflant...) que l'article n'est pas signé car il s'agit d'une rubrique collective, alimentée par l'ensemble des journalistes. Donc, c'est signé Charente Libre. SI vous nous lisiez sérieusement, vous sauriez que l'on assume parfaitement nos écrits (et nos erreurs si besoin, comme le prouve nos rectificatifs, nos courriers des lecteurs, notre médiateur, etc). C'est toute la limite des blogs de laisser n'importe qui raconter n'importe quoi, comme on peut le constater avec celui ci. Toutefois, j'y participe régulièrement, ce qui prouve que je le prends au sérieux, ainsi que son auteur évidemment. Bien que j'intervienne souvent dans le sud charente, ce n'est pas moi qui ait parlé de dégoulinade verbale, mais un collègue à qui j'ai fait découvrir le blog, et qui a été effrayé par la longueur des "papiers". Visiblement, à lire les réactions (les vraies, les signées) ci-dessus, son avis est partagé. Mais si Daniel Sauvaitre n'est pas d'accord, rien ne l'empêche de nous écrire, de nous téléphoner, de nous envoyer un mail, bref d'arrêter de faire le coup du mépris d'une presse pas parfaite, certainement, mais indépendante, sérieuse, soucieuse d'informer correctement sans ennuyer.Les lecteurs de ce blog ne sont pas forcément les notres, et je crois les notres beaucoup plus nombreux (120 000 lecteurs par jour selon l'OJD, et plusieurs milliers de visites sur notre site internet). J'en profite pour dire au Dr Farhi qu'il n'a pas d'inquiétude à avoir sur la diffusion de Charente Libre, en progression constante, en particulier sur le sud charente où nous faisons de gros efforts pour traiter le mieux possible l'actualité, sans parti pris. Sur l'hôpital, tous les points de vue, y compris le sien, se sont exprimés depuis plus d'un an dans Charente libre. On a consacré des colonnes et des colonnes à ce sujet sensible et complexe en évitant de tomber dans la cuisine technique qui aurait fait fuir nos lecteurs. René Vignerie, en tant que maire et président, a eu l'occasion de sexprimer -heureusement- comme les autres, mais pas plus que les autres. Consultez les archives avant de balancer des contre vérités. Le dernier article, je crois, était consacré à son prédécesseur, M.Cheisson, qui critiquait violemment René Vignerie, et à l'association des usagers qui ne le porte pas dans son coeur. J'arrête pour éviter de mériter la terrible accusation de "dégoulineur verbal". A bientôt, si possible à visage découvert...

T'as toujours la pelade???<br /> <br /> C'est chiant, ça gratte...

Ah les braves gens! Je parle de ceux qui hurlent avec les loup (quand les loup se mettent enfin à hurler) et se reveillent quand on leur met des évidences sous le nez...<br /> Facile aussi d'épingler les journeaux et les journaleux qui les font. Il y a de très bons journeaux d'investigation, ce que nos titres locaux ne sont pas. Je crois qu'il est bon de le (re)dire, les journeaux d'içi sont censé relater l'information, et que je sache, relater n'est pas prendre parti pour tel ou tel camp. Même si, je vous l'accorde, certains journalistes ont beaucoup de mal à ne pas laisser transparaître leurs avis

c'est vrai finalement. les corbeaux, c'est pas dangereux! car, à part tourner, tourner encore et accessoirement croasser, que font-ils d'autre?