De Ljubljana à Chicago, la pomme en congrès.

<br /> <br /> Pommes. Un nouveau logo pour croquer écoresponsable<br /> <br /> <br /> 11/2010<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Réagissez :<br /> <br /> <br /> Donnez votre avis<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Partagez :<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Suite à une récente décision des producteurs de pommes et poires rassemblés au sein de l’Association<br /> Nationale Pommes Poires (ANPP), le fruit préféré des Français fait désormais peau neuve grâce à la mise en place d’un nouveau logo valorisant les<br /> bonnes pratiques arboricoles exercées par les pomiculteurs français…<br /> <br /> <br /> L’appartenance à une charte de qualité revendiquée<br /> <br /> <br /> Depuis plusieurs années maintenant, les arboriculteurs français suivent avec rigueur une démarche de progrès à travers un cahier des charges strict.<br /> L’objectif de l’instauration de ce nouveau logo est donc de mettre en lumière cet engagement drastique auprès du grand public.<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Cette nouvelle identité, qui concerne les fruits issus de vergers engagés dans la charte qualité des pomiculteurs de France (PFI), porte un nom : «<br /> Vergers écoresponsables ». <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Les pomiculteurs au service du développement durable<br /> <br /> <br /> La production des fruits repose ainsi sur 3 piliers fondamentaux :<br /> <br /> <br /> <br /> Environnemental : les pratiques respectueuses de l’environnement et de la santé de arboriculteurs et des consommateurs sont suivies par un organisme<br /> externe. L’origine française des pommes est garantie ainsi que le maintien des équilibres naturels dans les vergers et la traçabilité des fruits.<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Social : les fruits issus des « vergers écoresponsables » sont cultivés dans le respect des personnes qui les produisent, cueillis à la main par des<br /> salariés qualifiés bénéficiant d’une protection sociale et sanitaire.<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Economique : les pomiculteurs de France doivent vivre de leur travail pour garantir la pérennité des vergers français et préserver l’autonomie<br /> alimentaire. Par ailleurs, la production permet des emplois fixes ou saisonniers et participe au maintien de l’économie rurale.<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Un nouveau logo pour valoriser les fruits auprès du public<br /> <br /> <br /> La création de ce nouveau logo marque un nouveau tournant dans la stratégie de communication de l’ANPP. La campagne se fonde en effet sur l’expérience des arboriculteurs français, et est<br /> accompagnée d’un nouveau slogan « Travailler avec la nature, c’est notre métier ».<br /> <br /> <br /> A travers cette démarche, l’Association tient également à prouver aux Français qu’il est possible de déguster des pommes françaises toute l’année. Pour cela, un calendrier de commercialisation sera mis en avant et<br /> une campagne pédagogique proposera à la restauration collective 5 000 kits d’information afin de sensibiliser<br /> petits et grands gourmands !<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> <br />

<br /> <br /> De General Electric à Barry Goldwater<br /> <br /> <br /> L’histoire commence dans les années 50, quand une grande entreprise américaine, la General Electric, décide de former ses cadres à la pensée économique. En partenariat avec la Foundation For<br /> Economic Education (Leonard Read et Henry Hazlitt), elle choisit les œuvres de deux Autrichiens, Hayek et Mises, de deux Anglais, Cobden et Bright, et d’un Français, Frédéric Bastiat. Et plutôt<br /> que de recruter un professeur d’économie, elle recrute un communicateur professionnel, capable de faire passer le message en termes simples : Ronald Reagan. En 1964, après 10 ans<br /> passés à transmettre les enseignements de Bastiat à travers tout le pays, Reagan soutient la campagne présidentielle du candidat républicain conservateur Barry Goldwater. Il prononce le 27<br /> octobre à la télévision un discours resté célèbre : « A Time for Choosing ». Parlant au nom de Goldwater, Reagan y défend la nécessité d’un « small government ». Extrait :<br /> <br /> <br /> « Soit nous croyons en notre capacité d’auto-gouvernement, soit nous abandonnons la révolution américaine et nous admettons qu’une élite intellectuelle peut, dans une capitale lointaine,<br /> planifier notre vie pour nous mieux que nous-mêmes. (…) Les Pères Fondateurs savaient qu’un gouvernement ne peut pas contrôler l’économie sans contrôler les gens. Et ils savaient que lorsqu’un<br /> gouvernement se propose de faire cela, il doit user de la force et de la coercition pour arriver à ses fins. Donc nous sommes arrivés au temps du choix. »<br /> <br /> <br /> <br /> La suite sur l'excellent site Contrepoints.org en cliquant ici.<br /> <br /> <br /> <br />